Skip to content
Snippets Groups Projects
Commit b878804c authored by Duc Cao's avatar Duc Cao
Browse files

Some sample input text files

parent 08082884
No related branches found
No related tags found
No related merge requests found
Accusé de sexisme, le festival d’Angoulême va intégrer des femmes à la liste des nominés
Rédaction en ligne
mercredi 6 janvier 2016, 16 h 36
Sur 30 nominés, aucun n’était une femme.
Le festival de BD fait marche arrière.
Sur le même sujet
Le Festival de BD d'Angoulême accusé de sexisme
Le festival de la BD d’Angoulême va finalement intégrer des femmes dans sa liste de nominés au Grand prix, annonce le délégué général du festival Franck Bondoux à francetv info .
L’absence de femmes dans la sélection du festival de BD fait polémique.
Plusieurs dessinateurs, dont Riad Sattouf ou encore Joann Sfar, ont demandé à être retirés des nommés.
« Le Festival va, sans enlever aucun autre nom, introduire de nouveau des noms d’auteures dans la liste des sélectionnés au titre du Grand Prix 2016 », confirme le festival d’Angoulême dans un communiqué.
Les organisateurs ne s’excusent pas pour autant, arguant qu’il « ne peu[vent] pas refaire l’histoire de la bande dessinée ».
« Il y a très peu d’auteures reconnues » dans le passé de la bande dessinée, poursuit le communiqué.
La défense du festival met en avant une « relation aux auteures » qui ne se limite pas aux nominations au Grand prix.
Fleur Pellerin: le débat sur la déchéance est "seulement politique"
06 Janv.
2016, 10h32
réagir
La ministre de la Culture Fleur Pellerin à la sortie du Conseil des ministres le 4 janvier 2016 à Paris (AFP/LIONEL BONAVENTURE)
La ministre de la Culture Fleur Pellerin a estimé mercredi que le débat sur la déchéance de nationalité pour tous les terroristes condamnés était du seul registre politique et a rejeté les arguties juridiques.
"Ce débat n'est pas juridique.
Aucun des textes, cités ces derniers jours, n'interdit de produire des apatrides: que ce soit la déclaration universelle des Droits de l'Homme de 1948, que ce soit les deux conventions de l'ONU qui définissent le statut des apatrides ou visent à réduire le nombre de cas d'apatridie", a-t-elle affirmé sur France Info.
Elle a martelé qu'aucun de ces textes "n'empêche de produire des apatrides" et que si la convention de 1954 prévoit le statut des apatrides, c'est que "cette situation est possible donc le débat n'est pas juridique".
Citant la convention de 1961, elle relève que selon l'article 8 il existe des circonstances dans lesquelles les nations peuvent décider de rendre un citoyen apatride "lorsque des individus portent un préjudice grave aux intérêts essentiels de l'Etat".
"Prendre des armes contres ses concitoyens n'est-il pas porter un préjudice grave aux intérêts essentiels de l'Etat?", a-t-elle interrogé.
Le chef de l'Etat avait annoncé le 16 novembre devant le Congrès son intention de graver dans la constitution la déchéance de nationalité pour les binationaux reconnus coupables d'actes de terrorisme.
Cette proposition suscite un vif débat au sein de la majorité comme la contre-proposition de l'étendre à tous les Français.
Aux Etats-Unis, Donald Trump s'est trouvé un rival de poids: Ted Cruz
AFP , publié le 06 janvier 2016 à 17h13 | 41 |
Donald Trump en meeting le 14 décembre 2015 à Las Vegas dans le Nevada - ROBYN BECK
Le candidat républicain Ted Cruz apparaît sur un écran publicitaire à Las Vegas, le 14 décembre 2015, avant le débat des primaires contre Donald Trump - ROBYN BECK
La candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton à Washington, le 22 octobre 2015 - SAUL LOEB
Les primaires présidentielles américaines commenceront le 1er février dans l'Iowa.
Donald Trump mène la course républicaine au niveau national, mais dans le petit Iowa il est devancé dans les sondages par le sénateur Ted Cruz, dont l'ascension agace passablement le milliardaire.
Finie l'amabilité d'antan entre les deux hommes.
Donald Trump a ressorti des tiroirs un vieux dossier sur Ted Cruz: sa naissance au Canada il y a 45 ans, et son éventuelle inéligibilité à la présidence des Etats-Unis.
La Constitution américaine énonce trois critères d'éligibilité: avoir 35 ans ou plus, résider aux Etats-Unis depuis au moins 14 ans, et être "né citoyen naturel" ("natural born citizen").
Cette dernière clause est ambiguë.
Elle exclut les citoyens naturalisés, sans définir ce qu'est un citoyen "naturel".
Mais de nombreux experts estiment que Ted Cruz étant né d'une mère américaine (son père est cubain), il est naturellement américain et absolument éligible.
Devançant la polémique, Ted Cruz a renoncé l'an dernier à sa nationalité canadienne.
Donald Trump, interrogé par le Washington Post lundi, a sauté sur l'occasion pour relancer les insinuations.
"Les républicains vont devoir se demander: est-ce que nous voulons un candidat qui risque d'être bloqué par les tribunaux pendant deux ans?"
a-t-il dit.
"Je détesterais qu'une telle chose lui arrive".
"Les gens vont continuer à faire du bruit politique sur ce sujet, mais d'un point de vue juridique, la question est réglée", a balayé Ted Cruz mardi depuis l'Iowa, citant les précédents de John McCain, né dans la Zone du canal du Panama, ou de Barry Goldwater, né en Arizona avant l'intégration aux Etats-Unis.
Les deux hommes se jaugent depuis des mois car ils chassent sur les mêmes terres, chacun représentant à sa façon le rejet du "système" et des appareils politiques.
Ted Cruz a été élu au Sénat en 2012, porté par la vague du Tea Party, et est le meneur des rebelles du Congrès, constamment en conflit avec son propre parti, jugé trop accommodant avec Barack Obama.
Jusqu'à présent, Ted Cruz est le candidat qui ménageait le plus Donald Trump, même quand tout le parti tombait sur l'homme d'affaires pour ses sorties anti-musulmans et ses autres outrances.
En retour, Donald Trump, 69 ans, a dit en décembre, lors d'un débat, que le sénateur texan avait "un tempérament merveilleux".
- L'Iowa, premier test -
Mais Ted Cruz a depuis pris un léger avantage dans les intentions de vote des républicains dans l'Iowa, avec 31% contre 27% pour Donald Trump.
Une avance peu concluante mais qui a suffi à déclencher l'exaspération du milliardaire.
Le profil du sénateur, qui défend depuis des années des causes religieuses, correspond a priori mieux aux nombreux électeurs conservateurs évangéliques de l'Etat.
Les résultats des consultations de l'Iowa sont fameusement imprévisibles.
La participation est faible (20%) et la majorité des électeurs se décident dans les derniers jours.
Sans compter que les vainqueurs des deux dernières consultations, en 2008 (Mike Huckabee) et 2012 (Rick Santorum), ne furent que des étoiles filantes.
Pour Donald Trump, une défaite dans l'Iowa écornerait son image de leader incontesté.
"J'adorerais gagner l'Iowa.
L'Iowa est très important pour moi", a-t-il dit au Post.
- Les démocrates -
Sur le papier, 12 républicains sont encore en lice.
Derrière MM. Trump et Cruz se placent le sénateur de Floride Marco Rubio, d'origine cubaine, le docteur noir à la retraite Ben Carson, et Jeb Bush, frère et fils des deux présidents Bush.
Côté démocrate, la course se joue entre la favorite Hillary Clinton, 68 ans, et le sénateur indépendant et socialiste Bernie Sanders, 74 ans.
Un troisième candidat marginal, Martin O'Malley, 52 ans, passe beaucoup de temps dans l'Iowa dans l'espoir d'un coup d'éclat.
Hillary Clinton avait terminé troisième dans l'Iowa en 2008 derrière Barack Obama et John Edwards.
Elle est aujourd'hui largement en tête des sondages (50% contre 37% pour Sanders) mais son équipe investit considérablement en temps et en argent, consciente qu'une défaite marquerait un terrible début d'année.
Elle a maillé l'Etat et déjà dépêché la candidate 35 journées, selon le décompte du Des Moines Register.
"Je sais que si on commence bien ici dans l'Iowa, on aura fait la moitié du chemin", a déclaré Hillary Clinton lundi à Davenport.
Partagez
6/01/16 - 12h46 Source: Belga
© photo news.
La Commission de la Justice a a approuvé mercredi à l'unanimité, moyennant quelques amendements, une proposition de loi des écologistes visant à attribuer aux services de renseignement belges la compétence de contrôler leurs homologues étrangers actifs en Belgique et les moyens adéquats pour ce faire.
Depuis bientôt dix ans, le comité de suivi des services de renseignement, dit Comité R, recommande de modifier la loi.
Si la Sûreté de l'Etat et le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) contrôlent déjà l'activité des services étrangers en Belgique, la loi ne leur en confie pas explicitement la compétence.
Ils peuvent recourir aux instruments que la loi leur offre pour accomplir leurs missions mais certains font toutefois défaut.
La loi du 4 février 2010 ne mentionne pas ainsi l'"ingérence" dans la liste des menaces pour lesquelles les services de renseignement peuvent recourir aux méthodes exceptionnelles de recueil de données (observation de lieux privés, enregistrement et écoute de communications, intrusion dans des systèmes informatiques, etc.).
La Belgique constitue pourtant un lieu de choix pour les services étrangers, rappelle le député Stefaan Van Hecke, un des auteurs de la proposition.
Non seulement parce qu'elle abrite les institutions européennes et l'OTAN mais également pour l'accueil d'un certain nombre de diasporas d'origine étrangère que les pays d'origine veulent contrôler, parfois "en allant trop loin", selon les mots du Comité R.
"Outre la recherche d'informations et de renseignements, certains services entreprennent toutes sortes d'actions qui vont de l'organisation de manifestations à l'influence diplomatique, dans le cadre desquelles des autorités étrangères utilisent leurs services de renseignement pour faire pression, influencer secrètement les décisions administratives et politiques ou pour orchestrer une campagne de propagande dans les médias.
Il s'agit aussi, souvent, de jeter le discrédit sur des opposants et de susciter une attention négative ou positive sur certains intérêts étrangers.
Des intimidations d'opposants à certains régimes ont également lieu", soulignent les auteurs de la proposition en se fondant sur un rapport du comité R de 2012.
Votre impression sur cet article?
François Hollande.
Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
Le contre-point de Guillaume Tabard.
Plus les jours passent et plus le débat s'enlise.
Plus la question se complique.
Moins l'issue paraît évidente.
Et plus les arrière-pensées tactiques apparaissent au premier plan.
La déchéance de nationalité.
Au Congrès de Versailles, le 16 novembre, François Hollande avait réussi un bel effet de surprise.
Et un joli coup politique: en une mesure, il obligeait la droite à l'applaudir, contraignait la gauche à le soutenir et se construisait une image de fermeté dans l'opinion.
Mais il n'aura pas fallu deux mois pour que l'offensive éclair se transforme en bourbier.
Le débat parlementaire n'a pas encore commencé que les questions ne sont déjà plus: ...
Cet article a été publié dans l'édition du Figaro du
07/01/2016 .
Médecins : la guerre des tarifs
édition des abonnés
Santé - Les praticiens veulent une revalorisation de la consultation Médecins : la guerre des tarifs
La Confédération des syndicats médicaux français demande aux praticiens de secteur 1 de pratiquer des dépassements d’honoraires, contre l’avis de la ...
Élodie Bécu
06/01/2016 à 05:00
Pour lire cet article, vous devez être abonné à l’une de nos offres web ou papier et vous connecter sur votre compte dna.fr
avec votre identifiant et mot de passe habituels.
Pour lire cet article
Une femme tient une pancarte "Ayez du respect et du bon sexe" pendant une manifestation à Cologne le 5 janvier 2016
afp.com/Oliver Berg
Cologne (Allemagne) - Une centaine d'agressions sexuelles commises la nuit du Nouvel an à Cologne (ouest) et attribuées à des "jeunes apparemment d'origine arabe" a provoqué mardi l'émoi en Allemagne, le gouvernement condamnant les violences tout en s'inquiétant d'une stigmatisation des réfugiés.
La chancelière Angela Merkel a téléphoné à la maire de Cologne Henriette Reker et lui a fait part de "son indignation face à ces actes de violence insupportables et à ces agressions sexuelles", tandis que d'autres responsables politiques cherchaient eux à établir un lien avec la présence de nombreux migrants dans le pays.
L'affaire, qui a pris de l'ampleur à mesure que se multipliaient les plaintes de victimes, suscite une forte émotion dans le pays.
Mardi en début de soirée, entre 2 et 300 personnes (selon la police) se sont symboliquement rassemblées devant la cathédrale de Cologne pour appeler à plus de respect envers les femmes.
"Madame Merkel, que faites-vous ' Ça fait peur", s'interrogeait sur une pancarte une des manifestantes.
Le ministre de l'Intérieur Thomas de Maizière a lui critiqué dans la soirée l'inaction des forces de l'ordre à Cologne le soir des faits.
"La police ne peut pas travailler comme ça", a-t-il dénoncé.
Au total, 90 plaintes ont été déposées et selon le chef de la police de Cologne, Wolfgang Albers, "d'autres devraient suivre".
- Des hommes ivres -
Ces agressions sont attribuées à des groupes de 20 à 30 jeunes hommes ivres qui ont encerclé leurs victimes au milieu du millier de personnes qui s'était rassemblé autour de la cathédrale et de la gare centrale de Cologne.
Mais la police a aussi signalé une dizaine de plaintes à Hambourg (nord).
"Un groupe d'une dizaine, vingtaine, trentaine de jeunes hommes étrangers s'en est pris à nous", a raconté une victime sur le plateau de la chaîne d'information en continu N-TV.
"Ils se sont mis à nous agresser, nous prenant l'entre-jambe, touchant nos décolletés, sous les manteaux", a-t-elle expliqué, ajoutant que "seules les femmes" étaient visées.
Selon M. Albers, les policiers intervenus ce soir-là font état "dans leur très large majorité de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, apparemment d'origine arabe ou nord-africaine", un constat corroboré par les descriptions des victimes.
"Nous n'avons aucun indice montrant qu'il puisse s'agir de réfugiés séjournant à Cologne" ou dans les environs, a insisté la maire Henriette Reker, jugeant ce rapprochement "inadmissible" à la suite d'une réunion de crise à la mairie.
Le ministre de la Justice Heiko Maas a lui aussi mis en garde contre toute "instrumentalisation" de ces agressions dans un pays où l'afflux de réfugiés a parfois suscité de vives tensions ces derniers mois.
Son homologue de l'Intérieur a abondé contre "la suspicion généralisée" à l'égard des immigrés mais demandé aussi qu'il n'y ait "pas de tabou" s'il devait se confirmer que les auteurs sont d'origine étrangère.
- Allemagne "multicolore" -
Sans attendre, plusieurs personnalités politiques ont commencé à utiliser l'événement.
Après ces incidents, "est-ce que l'Allemagne est suffisamment ouverte sur le monde et multicolore pour vous, Madame Merkel '" a lancé, provocatrice, Frauke Petry, la patronne du parti populiste Alternative für Deutschland (AfD) qui progresse dans les sondages.
Au sein même de la coalition gouvernementale, les conservateurs bavarois de la CSU, qui tempêtent depuis des mois contre la politique favorable aux réfugiés de la chancelière, ont trouvé aussi matière à alimenter leurs griefs.
"Si des demandeurs d'asile ou des réfugiés se livrent à de telles agressions (...) cela doit conduire à la fin immédiate de leur séjour en Allemagne", a lancé Andreas Scheuer, secrétaire général du parti, qui recevra mercredi Mme Merkel en Bavière lors d'une réunion prévue de longue date.
Pour l'heure, la police n'a fait état d'aucune arrestation spécifiquement liée aux incidents.
Les plaintes visent des faits allant du harcèlement à au moins un viol en passant par des dizaines d'autres agressions sexuelles et des vols.
Un renforcement des effectifs des forces de l'ordre ainsi que de la vidéo-surveillance a été annoncé par le président de la police de Cologne qui se prépare à accueillir du 4 au 10 février des centaines de milliers de fêtards pour le carnaval, l'événement emblématique de cette ville.
+Plus d'actualité :
France/Monde - Mise à jour : 08:29
Lutte antiterroriste: un projet de loi pour durcir le code pénal
06/01/2016 08:29
suivante précédente
Policiers, parquets et préfets seront les grands bénéficiaires d'un projet de loi bientôt présenté en Conseil des ministres, qui veut durcir le code pénal dans le but de mieux lutter contre le terrorisme après les attentats de novembre.
Les grandes lignes du projet avaient été présentées le 23 décembre par la garde des Sceaux Christiane Taubira, qui souhaitait alors qu'il soit examiné en février en Conseil des ministres.
Selon le texte, dévoilé mardi par Le Monde et dont l'AFP a pu consulter les principaux points, il s'agit d'adapter "notre dispositif législatif de lutte contre le crime organisé (...) et le terrorisme" afin de "renforcer de façon pérenne les outils et moyens mis à la disposition des autorités administratives et judiciaires", en dehors du cadre temporaire de l'état d'urgence instauré après les attentats parisiens du 13 novembre qui ont fait 130 morts.
USAGE DES ARMES DES POLICIERS
Parmi les dispositions les plus marquantes figure un assouplissement des règles d'engagement armé des policiers, une mesure réclamée de longue date par les forces de l'ordre.
Le projet de loi dispose ainsi le principe d'une "irresponsabilité pénale" en raison de "l'état de nécessité" pour tout fonctionnaire de police ou gendarme qui "hors cas de légitime défense fait un usage de son arme rendu absolument nécessaire pour mettre hors d'état de nuire une personne venant de commettre un ou plusieurs homicides volontaires et dont il existe des raisons sérieuses et actuelles de penser qu'elle est susceptible de réitérer ces crimes dans un temps très voisin des premiers actes".
RETOUR DE JIHAD
Une autre disposition vise les personnes soupçonnées d'avoir fait le jihad en Syrie ou en Irak et de vouloir commettre des attentats en France.
Elle renforce le contrôle administratif des personnes "dont il existe des raisons sérieuses de penser qu'elles ont accompli (...) des déplacements à l'étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes (...) dans des conditions susceptibles de les conduire à porter atteinte à la sécurité publique lors de leur retour sur le territoire français".
Ces personnes contre lesquelles il n'existe pas aujourd'hui d'éléments suffisants pour les mettre en examen pourraient dans ce cadre être assignées à résidence ou subir des contrôles administratifs, des mesures décidées par le ministère de l'Intérieur.
Ces mesures pourraient être suspendues si la personne se soumet à une action de réinsertion et d'acquisition des "valeurs de citoyenneté" dans un centre habilité.
FOUILLES ET PERQUISITIONS DE NUIT
Une autre disposition élargit la possibilité offerte aux policiers et gendarmes de procéder à des fouilles de bagages et véhicules, sous l'autorité du préfet et non plus du procureur, "aux abords des installations, d'établissements ou d'ouvrages sensibles".
Les perquisitions de nuit, jusqu'alors réservées aux juges, pourront désormais être ordonnées dans les enquêtes préliminaires du parquet, y compris dans les logements et même de façon préventive pour "prévenir un risque d'atteinte à la vie ou à l'intégrité physique".
INTERCEPTIONS
Le texte entend également donner au parquet et aux juges d'instruction l'accès à de nouvelles mesures d'investigation en matière de communication électronique et à de nouvelles techniques comme les "+Imsi-catcher+, qui interceptent les communications dans un périmètre donné en imitant le fonctionnement d'un relais téléphonique mobile".
TÉMOINS, FINANCEMENT ET BIENS CULTURELS
Le projet de loi vise aussi à mieux protéger les témoins avec des témoignages sous numéro et en prévoyant le recours au huis clos durant leur témoignage dans certains procès sensibles.
La lutte contre le financement du terrorisme sera également facilitée par un encadrement et une traçabilité des cartes prépayées, la possibilité pour Tracfin, organisme antiblanchiment du ministère de l'Économie, de signaler aux banques des opérations et des personnes à risque, et une extension du champ du gel des avoirs.
Enfin, une incrimination nouvelle visant à réprimer le trafic des biens culturels sera créée pour éviter que des groupes terroristes syriens ou libyens puissent "recycler sur notre sol le fruit du pillage du patrimoine de l'humanité".
Par Pierre ROCHICCIOLI 2016 AFP
Orange et Bouygues en pourparlers avancés, vous en pensez quoi ?
Ce sera, bien sûr, au bénéfice du consommateur et des salariés concernés ...
Ça tombe bien, je suis client ailleurs
Encore un petit effort et on va revenir aux PTT
Je n'ai pas de portable et je ne réponds jamais sur le fixe
0% Loading or .
You are about to add 0 people to the discussion. Proceed with caution.
Finish editing this message first!
Please register or to comment